Dakar, à quelques jours de la fête de Tabaski, un peintre, enfermé dans son atelier, travaille sur le thème du sacrifice rituel du bélier. La peinture rouge coule des esquisses accrochées à des cordes à linge. Une inscription tracée au mur : “Tabaski, à qui le tour ?” Trois personnages et un mouton gravite autour de lui et le raccroche à la réalité.

Le peintre : Camara Gueye

Le berger : Eric Torres

La chanteuse : Kya Loum

Le saxophoniste : Christian d’Erneville

La cliente : Oumou Sy

Le bélier : Tabaski

Fiction – Genre : Art et politique Durée : 26’ – SENEGAL – FRANCE

Tourné en RED 5K à Dakar, Sénégal – © Juin 2019 – Visa n°150.758

Supports : DCP 5.1 Blu Ray – Fichiers APPLE PRORES ou H264 Stereo

VO Français Wolof Anglais, ST français ou ST anglais ou ST Espagnol

Réalisation & scénario : Laurence Attali

Image : Remi Mazet

Son : Michel Tsagli

Montage : Laurence Attali

Direct. production : O.William Mbaye

Assistant réalisation : Fabacary Coly

Ass. Image Fattah Faris

Régie : Achille Gaboua

Scripte : Ashley Ndiaye

Décor : Moustapha Ndiaye

Costumes : Oumou Sy

Mixage: Myriam René

Les tableaux et esquisses ont été créées pour le décor du film, par le peintre

Camara Gueye. La performance a été réalisée en live en 1h30′

Musique pré-existante : « Kadia Blues », Orchestre de la Paillotte, dirigé par

Kélétigui Traoré (Syliphone Guinée 1968– Syllart records)

Musique Originale : Improvisations et chanson “Deweneti” composées pour

le film, par les acteurs Kya Loum (chant guitare), Christian d’Erneville (saxo)

COPRODUCTION LES FILMS MAME YANDE & AUTOPRODUCTION SARL 2019

Avec l’appui du FOPICA, Sénégal et du Fonds Image de la Francophonie.

Production : Ousmane William Mbaye

A propos du projet

Dakar, à quelques jours de la fête de Tabaski, un peintre, enfermé dans son atelier, travaille sur le thème du sacrifice rituel du bélier. La peinture rouge coule des esquisses accrochées à des cordes à linge. Une inscription tracée au mur : “Tabaski, à qui le tour ?” Trois personnages et un mouton gravite autour de lui et le raccroche à la réalité.