Victime d’un plan sadique orchestré par son étudiante psychopathe Jackie 4 ans plus tôt, Ben est aujourd’hui handicapé et totalement détruit psychologiquement.

Jusqu’ici disparue sans laisser de trace, Jackie est désormais de retour dans la vie de Ben et de sa femme Carole…

Jusqu’où Jackie est-elle prête à aller cette-fois ci ?

rien

Rien

A propos du projet

Le récit de Mignonnes adopte, comme dans Maman(s), le premier court métrage professionnel de Maimouna Doucouré, le point de vue d’une préadolescente. La réalisatrice explique : “Mon court et mon long métrage sont assez différents, mais ils ont en commun ce point de vue à hauteur d’enfant. J’aime dire aux spectateurs à qui je présente mon film que j’ai à cœur qu’ils puissent se mettre dans la peau d’une petite fille de onze ans le temps de la projection. Je souhaite qu’ils puissent sentir sa respiration, son pouls, son cœur qui bat. Je ne veux pas qu’on l’observe à distance ou qu’on la juge. C’est le défi émotionnel du film : créer un lien presque fusionnel entre le spectateur et mon personnage principal. Passer par le cœur pour atteindre l’esprit.”
Qui est Maimouna Doucouré ?
Après des études de Biologie, Maïmouna Doucouré se lance dans le cinéma suite à un concours de scénario qui lui permet de réaliser un premier film autoproduit. Elle écrit ensuite Maman(s), une histoire à hauteur d’enfant, avec un soupçon autobiographique. Produit par Bien ou Bien Productions, le film est sélectionné dans près de 200 festivals à travers le monde et remporte plus de 60 prix, dont le prix international au festival de Sundance, le grand prix au festival de Toronto ainsi que le César 2017 du meilleur court métrage.

Son premier long métrage, Mignonnes, aborde le thème de l’hypersexualisation des pré-adolescentes et reçoit en janvier 2020 le Prix de la Meilleure Réalisation au Festival de Sundance ainsi que la Mention Spéciale du Jury International à la Berlinale (Génération).